Fiche Pays: Le Sri Lanka
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« -On va prendre l’avion ! on va prendre l’avion !!!!»

Voici les enfants bien excité pour ce nouveau mode de transport. Voila également nos habitudes bien chamboulées avec une nouvelle organisation: fini la conduite, la recherche de bivouac, eau et carburant! Bonjour les sac à dos, les bus et les guesthouse!


Embarquement à Istanbul. Une heure de retard alors que nous avons une escale de 50 minutes à Bahrain...










































































































































































































































































Les fruits frais font le plaisir de toute la famille: banane, ananas, noix de coco, papaye, mangue... Nous en découvrons même certain, comme le jaques (fruit du jaquier). Le plus gros fruit du monde (plus gros qu’un ballon de rugby) est succulent!

























Nous allons visiter l’île dans le sens des aiguilles d’une montre. Donc direction le nord en bus, pour rejoindre le Parc naturel de Wilpattu. Nous prenons nos premières marques avec les transports en commun. Les prix des places de bus (quelques centimes le billet), feront de ce mode de déplacement notre principal, avec le train.






























Aux portes du parc, nous nous installons dans une petite guesthouse tenue par une famille très sympathique.


«-Debout les enfants, il est 5 heure...

  1. -hmmmmm....

  2. -on va dans un parc voir des éléphants et des crocodiles...»

il n’aura pas été nécessaire dans dire plus qu’en moins de 30 seconde, Eliott était habillé et devant la porte...


Pour voir les photos du parc de Wilpattu,c’est ici.











































































Notre hébergement se trouve aux portes du parc, qui nous permet

donc de prolonger notre excurtion dans les alentours.

Nous sympathisons avec les gérants, qui ont leurs petits enfants

chez eux la journée.

Eliott et mayline passerons leurs journées à bord du 4x4 de Lionel, et

Kamisha et son frère seront les premiers amis Sri lankais de nos

enfants. Les partages sont intenses, les au revoir  aussi.





















































Dans une guest d’Anuradhapura, nous rencontrons Matthieu et sympathisons très rapidement. Nos projets, similaire et différents à la fois nous conduise à faire un petit bout de route ensemble, à durée indéterminée... Il parcourt, comme nous la planète, mais avec son sac à dos.

Nous entrons dans le triangle culturelle par cette ville, puis Mintimale, le rocher de Sigrihyia, Les grottes de Dambulla, et enfin Ponnolaruha.

Les sites archéo sont de toutes beautés, particulièrement  Pollonuarua, mais les prix de visites sont prohibitifs. Comptez entre 20 à 30$ par personne et par ville. Il existait, jusqu’au 1er janvier 2012, un pass permettant de visiter le triangle culturel.


Depuis le début de cette année, entre la création du visa (ou ETA), la suppression du pass, l’augmentation impressionnant du cout de la vie pour les touristes (comptez 30% par an), le gouvernement prend la position de multiplier jusqu’à 35 fois le cout des entrées entre les autochtones et les étrangers, pourquoi les locaux n’en ferait pas autant... La politique du pays à l’air de vouloir rendre le Sri Lanka une destination haut de gamme. Le problème est que les infrastructures ne suivent pas.


Pour visualiser les photos du Triangle culturel, c’est ici!






















































Après ces quelques villes, nous pouvons dire que nous commençons

à prendre nos marques en mode Backpacker. Les bus locaux ne sont pas

tout jeune, mais il est plaisant de voyager avec les gens, toujours

pleins d’attentions et de sympathie pour nous.

L’organisation est différente, mais nous nous y adaptons.












Arrivée à Kandy, la recherche d’hébergement n’a pas été une partie de plaisir: il fait chaud, les prix élevés des hébergements nous obliges à tourner autour du lac et de monter les petites collines qui abritent une multitude de Guesthouses ou hôtels. Grace à Matthieu, nous finirons par trouver une grande chambre plutôt sympa avec une super vue.

Le problème au Sri-Lanka, c’est que les gens ne sont pas très soigneux de leurs biens immobiliers... Il n’est pas rare de trouver des chambres, dont la literie est plus que douteuse, que le ménage s’arrête à un coup de ballet autour du lit, de voire des cafards gros comme un pouce parcourir les murs ou de trouver des salles de bains où seul un crapaud s’y sentirait bien... D’ailleurs je pense que parfois, les moustiquaires n’ont pas fait que repousser les bêbettes volantes...



Visite du temple de la dent.

Ce lieu saint renferme la plus importante relique bouddhiste du Sri-Lanka: une dent du bouddha. Cette dent, dont l’histoire et le parcours est ponctué de nombreux vols, est devenu le symbole de souveraineté: qui possédait la dent, pouvait régner sur le pays! Les bouddhistes du pays considèrent qu’il faut au moins une fois dans sa vie, venir au temple, ce qui améliorerait considérablement leur karma. Lors des cérémonies (plusieurs par jour), l’autel qui enferment la dent dans une mini dagoba en or, s’ouvre aux pelerins, qui y dépose nombreuses offrandes, bien souvent des fleurs.

































































































Les enfants (et nous aussi souvent) découvrent de nouveaux animaux autour du lac, comme ici: un pélican et un énorme varan.



































«-Dis papa, moi aussi je peux faire comme les gens dans le train?

- heuuu, non Eliott, c’est dedans que tu va voyager toi!»


même si les performances de «TGV local» est à tester, il pourrait mettre

à dure épreuve certain. Il faut dire que pour faire moins de 100km, il

aura mis 8 heures et ce, sans panne...

Les places assises sont rares.Grace aux enfants, Céline pourra en profiter,

pour nous, il faudra attendre entre 4 et 5 heures avant d’en avoir une.


Nous traversons donc les montagnes du centre à bord (et non accroché aux

wagons) pour rejoindre le petit village de Ella, perdu entre colline et

plantation de thé.
















































































































Au grand bonheur d’Eliott, en route pour une petite rando bien

connu dans la région: «Little Adam’s Peak» où les paysages sont formidables.
















































































C’est bientôt l’anniversaire d’Eliott. A ce jour, c’est le seul à ne pas l’avoir fêté depuis le début du voyage. Que va t’on bien pouvoir lui offrir...? Au final, nous allons fêter son anniversaire sur 3 jours:

- la veille: Direction Uda Walawe National Park pour un safari et admirer ses hardes d'Eléphants.

- le jour même (le 6 février): direction la splendide plage de Mirissa.

- le lendemain: à la rencontre de Moby Dick.


un anniversaire qu’il ne risque pas d’oublier...


Nous avions été un peu frustré de ne voir qu’un seul éléphants à Wilpattu et le choix entre les deux parc du sud n’a pas été facile: Soit Yala NP avec sa faune diversifié, où nous pouvons encore espérer voir un léopard mais où le tourisme de masse rend les safaris loin de se que l’on peu espérer (jusqu’à 200 véhicules) ou Uda Walawe où seul les éléphants sont présent, mais la densité de visiteur est nettement moins importante (environ 10 véhicules). Au vote, nous avons choisi les éléphants plutôt que Yala et l’hypothétique possibilité de voir le fauve tant convoité.


Avant même d’entrer dans le parc, nous apercevons déjà des éléphants depuis le bus, puis d’autres qui passe juste devant nos fenêtres de notre hébergement. Eliott et Céline en compteront 26! 





Pour voir les photos de Uda Walawe National Park, c’est ici








« - .... Bonjour Eliott .... JOYYYEUUUUUX AAAAAAAANNIVERSSAIRRRRRRRE !» Voila, notre grand garçon à 6 ans. Aujourd’hui, c’est sa journée où il choisi tout,du moins, ça aurai dû....


Nous commençons la journée dans les transport en commun, 3 bus différents qui nous transporterons du parc des éléphants jusqu’à Matara, sur la côte sud du Sri Lanka (40km et 3 heures...). On descend du dernier bus et allons manger dans un petit restaurant à proximité de la gare routière. C’est en sortant de celui-ci que je m'aperçois qu’il manque un bagage, mon appareil photo, j’en suis sûr, c’est la panique! alors que je commence à courir dans tous les bus de la gare routière, Matthieu récolte des informations auprès des locaux. Un chauffeur de tuktuk saute dans un bus au hasard et rejoint Matthieu en lui confirmant que l’appareil à été récupérer par le chauffeur et qu’il pourra me l’apporter le soir à la fin de sa tournée, vers 19H. Ne sachant pas d’où sortait cette personne et ne comprenant pas comment il aurait pu avoir l’info, pas facile de lui faire confiance, je n’y crois pas. 2 agents de police s’approchent et je commence à leur expliquer la situation. En fait, grace à notre ticket, la personne qui a sauter dans un bus à demandé au chauffeur s’il connaissait celui qui conduisait le notre, à récupérer son numéro de portable et l’a appelé. Le policier propose de l’appeler à son tour pour confirmer l’histoire et demande au chauffeur de rapatrier la sacoche par le prochain bus qu’il croise. Après 2 heures d’attente, une personne nous remet la sacoche et me demande de contrôler son contenu: tout y est: appareil photos, objectifs et même mes lunettes de soleil. Incroyable, je n’en reviens toujours pas! I’m happy lucky :-)


Nous finiront par rejoindre Mirissa en fin de journée, pour fêter l’anniversaire d’Eliott.





























Autour d’un gâteau au chocolat et d’une bougie, Eliott déballera ses cadeaux: un jolie pendentif

éléphant en bois et une super jeep safari comme empruntée la veille. C’est au tour d’Eliott d’être

heureux. Encore bon anniversaire mon grand, nous sommes fière de toi.


«- Debout Mayline, debout Eliott, il est 6h00!

  1. -encore! pourquoi ont se lève?

  2. -aujourd’hui, on va prendre un bateau... tu te souviens pourquoi?

  3. -Ouiiiiiiiiii !»


Mirissa est connu, mais pas que pour sa sublime plage. Depuis 2006, des chercheurs ont remarqué qu’au large du sud du Sri Lanka, de décembre à mars, les plus gros animaux du monde transitaient par ici et que le lieu, une fosse étroite et profonde, rendait l’endroit unique pour observer les baleines bleues et cachalot. A ce jour, Mirissa et le spot le plus favorable au monde pour observer les baleines. Nous embarquons sur un ancien bateau de pêche pour rejoindre Dondra Head où un spectacle magique nous attendait!






Pour voir les photos de l'excursion aux baleines, c’est ici!






Malgré que sur le chemin de l’allée Eliott soit malade et qu’il voulait faire demi-tour, il aura énormément apprécié la surprise. Au final, nous aurons vu peut-être 3 baleines différentes (dure à dire) en 8 ou 9 apparitions et quelques dizaines de dauphins sur le chemin du retour. Une experience unique, que nous n’avons pas pu réaliser aux lofoten (Norvege) à cause du cout excessif.

Comment mieux finir la journée qu’en allant sur la plage où l’eau ne descend jamais sous la barre des 27°C avec un joli couché de soleil...











































































Unawatuna: ce nom ne vous dit peut-être rien, mais la petite bourgade abrite l’une des plage les plus belle au monde, classé parmi les 10 plus jolies... du moins jusqu’à un événement majeur: le Tsunami de 2004! le pire est que ce n’est pas les dégâts de cette horrible journée qui ont déclassé la plage: Après le passage de la vague, quasiment la totalité des bâtiments ont été détruit et emporté par les eaux. Malgré le nombre de vies perdus (par centaine rien qu’ici) les construction ont repris de plus belle,  encore plus près... beaucoup ne laissent plus que 4 ou 5 mètres de plage devant leur bâtisse, certains obligent même à devoir nager pour prolonger sa balade sur la plage. Aucune architecture respecté, aucun respect de règle de sécurité malgré l'événements marquant. Au final, les hôtels s’étouffent eux même... A ce jour, la plage n’est plus parmi les 10 plus belles, mais au douzième rang quand même.













































































































Incroyable, si la plage est belle en surface, c’est un spectacle sous l’eau! Des poissons tropicaux de toutes les couleurs, par dizaine, à moins de 5 mètres du bord, le spectacle commence, à 20 mètres c’est un feu d’artifice! le clou du spectacle: en nageant, j'aperçois une tâche sombre devant moi: une poche plastique? non: une tortue, de la taille de Mayline!l’eau est claire, je vois à 10 mètres. Je m’approche lentement, je ne connais pas la réaction qu’elle aura. Sa mâchoire puissante peut sectionner un doigt, autant faire attention. Elle me regarde et continue à manger les plantes du fond, ponctué par des remontées en surface pour respirer. Un petit poisson jaune reste bien à l’abri sous sa nageoire. Ses amples mouvements lents, au rythme des vagues donnent un coté majestueux, elle parait insouciante. Je l’a suivrai 20 minutes. Un spectacle inoubliable, à vie! j’aurai la chance de renouveler l'expérience une seconde fois. Céline aura également réussi à en apercevoir une, mais l’eau très trouble ne lui permettra de la voir qu’en surface.


Matthieu est toujours avec nous. On s’éclate!

Il a dans ses valises une petite caméra magique qui nous permettra d'immortaliser notre petite séance de 4 jours de Snorkeling (plongé avec masque et tuba). Dur-dur de prendre des photos sous l’eau: ça bouge, les poissons ont peur, éviter de toucher les coraux pour ne pas les abimer, mais également le fond pour éviter de troubler l’eau... Matthieu s’accroche aux récifs, mais pour cela, il faut s’approcher près des roches. une vague le pousse et devinez sur quoi: un oursin! ouille. Ici, elle font la taille d’un ballon de football! Nous n’étions pas avec lui à ce moment là. Il sort de l’eau un peu paniqué, un hôtelier le voit et prend en main le soin de son pouce. Il casse la quinzaine d’épines, coupe une plante grasse du jardin (aolé évera) lui badigeonne le doigt et lui met à plusieurs reprise le pouce dans le feu, jusqu’à la limite du supportable, pour neutraliser le venin de l’animal. Les oursins sont dangereux, mortel pour les blancs. Il ne lui restera plus qu’à attendre quelques jours pour que le reste des épines sortent. Sans jeu de mot, il a eu chaud...





























































































Direction Gallé! Son fort et ces bâtiments coloniaux hollandais donnent à la ville une architecture incomparable avec le reste du pays, comme une cité médiévale européenne sous les tropiques. Nous apercevrons également deux ou trois grosses tortues depuis les remparts. Ici, elles peuvent mesurer jusqu’à 2 mètres, si elles arrivent à vieillir sans finir dans les filets d’un pêcheur.


























































































































































Nous re-voici à nouveau tous les 4, pour clore notre boucle sur cette île au 1000 facettes. Ont longent la cote direction le nord, avec une petite halte à Benthota, pour profité un peu de la plage, mais là, nous essuyons notre première vrai journée de pluie. Nous y rencontrons Evelyne et Louis, des papy-mamie bretons qui n'espère jamais devoir renoncer à trimbaler leurs sac à dos. Encore une fois, Eliott et Mayline s’attacherons très rapidement, comme pour compenser le manque de leur propre grands-parents.


Le soir venu, direction Koskoda pour la visite de l’un des centres d’élevage des tortues, victime d’accident ou d’aide à la protection des oeufs.

Il récolte donc les tortues, souvent amputées d’un membre à cause des filets de pêcheur, ou achètent les oeufs au braconnier, légèrement plus cher que les cuisines des restaurants, pour éviter qu’ils ne finissent en omelette.
Le souci, c’est que cette attitude rend légitime le travaille des braconniers et leur donne un plein pouvoir: Aujourd’hui, les braconniers usent de leur position et si les centres ne leur achètent pas le prix qu’ils en souhaitent, ils cassent les oeufs sous leurs nez. Un cercle sans fin qui commence à rendre le produit rare et luxueux, soit les ingrédients d’une demande en hausse.


Lors de notre arrivée au centre Kosgoda Turtle Hatchery, nous avons été marqué par le prix de l’entrée: 1000 Roupies, soit 5x plus cher que le prix indiqué dans le guide. Surpris, je pose la question au guichetier qui m’informe que les prix n’ont pas été mis à jour dans notre livre, cela dit, ce qui est souvent le cas...


Nous y apprenons que les oeufs de tortues (gros comme une balle de ping-pong) sont mou, pour ne pas casser lorsque la tortue pond. Les bébés sont ensuite mis en couveuse (sable) puis, lorsque les oeufs éclosent, les petits sont mis en bassin. Elles seront ensuite toutes lâchées à la mer le soir de leurs troisième jour vers 18H30, à la tombé de la nuit, pour éviter leur principals prédateurs: les oiseaux.

















































































Il est 17h30, trop tôt pour nous pour assister à la remise en liberté des tortues. L’un des employé propose donc aux enfants de sortir du centre avec une petite tortue chacun et de l’accompagner jusqu’à la mer. Les enfants sont heureux


























































































Nous re-voici donc à Negombo, dans la ville où les touristes arrivant et partant se croisent, s’échangent leurs informations et avis sur le pays. Les arrivants découvrent ce pays en payant souvent le double de ce que paye les partants, trouvant la vie bon marché si ont la compare à la France. Il aura fallut régulièrement faire attention que l’addition soit correct, que le prix payé dans le bus corresponde à la distance et plein d’autre petites astuces des locaux pour gagner des roupies par ci-par là...


Nous retrouvons Evelyne et Louis et partageons quelques repas au grand plaisir des petits, et des grands.



































Nous aurons parcouru le pays en un mois. Nous sommes arrivé ici dans l’idée de visiter sur une petite île, et de ne pas avoir à courir, mais la richesse des lieux nous a invité à en voir un maximum. Nous passons de la montagne à la mer, des villes aux parcs naturels si rapidement que chaque jours est une nouvelle page. Nous n’avons pas vu le temps passé. Les rencontres avec les autochtones et les voyageurs étaient plaisantes. La générosité des gens et leur accueil, particulièrement envers les enfants (encore une fois), nous a comblé. Bien sûr la grande rencontre ici était celle de Matthieu, nous ne pourrons jamais nous souvenir du pays sans penser à lui. Mais c’est aussi Lionel, son épouse et leurs petits enfants: nos hôtes de Wilpattu, Evelyne et Louis: les papy-mamie d’adoption pour Eliott et Mayline, et plein de souvenirs avec d’autres locaux et touristes.


Le Sri-Lanka aura été pour nous une petite porte d’entrée pour le continent asiatique, une bonne mise en bouche qui nous pousse à en voir encore plus.






















 
Un tour du monde en famille en camping-car avec deux enfant: c’est Akilifamily ! Akili Family
Le sri lanka
Capital: Colombo
Nombre d’habitant:21 Millions
Monnaie: Roupie Sri Lankaise
Valeur: 1 € = 144 Roupies
Visa: Besoin ETA (- de 30j) ou visa (+ de 30j)
Date d’entrée: 24 janvier 2012
Date de Sortie: 21 février 2012
Durée: 1 mois
Kilomètres Parcourus:XXkm
Décalage horaire: 4H30 (en hiver)
Cout du Carburant: 0,60€/litre
Cout moyen d’un restaurant: entre 1 et 3€ / pers.
Eau: ?
Gaz: ?
Infrastructures: bonne à moyenne
Sécurité:aucun souci sauf zone nord et est.
Bivouac possible:?
Internet:café, rue, hôtel..
Les +: La diversité des sites, le climat, les Sri-Lankais 
Les -: Le cout des visites, la propreté moyenne...
La recette du pays
accéder à la fiche pays précédente: La Turquie
accéder à la fiche pays suivante: La MalaisieLa_Turquie.htmlLa_Malaisie_1.htmlshapeimage_10_link_0shapeimage_10_link_1
Accéder à la fiche technique détaillée du paysFiche_Technique_Le_Sri_Lanka.htmlFiche_Technique_Le_Sri_Lanka.htmlFiche_Technique_Le_Sri_Lanka.htmlFiche_Technique_Le_Sri_Lanka.htmlFiche_Technique_Le_Sri_Lanka.htmlshapeimage_11_link_0shapeimage_11_link_1shapeimage_11_link_2shapeimage_11_link_3shapeimage_11_link_4

Au final, 30 minutes de retard seront rattrapés en vol, nous laissant encore moins de temps pour profité de notre passage éclair dans les émirats. Une crainte: est-ce que 20 minutes d’escale permettra de faire suivre les valises à bonne destination? Ouf, oui! Nous posons le pied sur le sol Sri-Lankais à 3h50 du mat’. Il fait chaud! cool! 25°C à cette heure de la nuit, ça promet pour la journée qui va suivre. On ne va pas se plaindre, voici 3 mois que nous en réclamons: nous allons être servi!

« Debout-debout! il est 10h, le soleil brille... écoutez! ce ne serait pas un éléphant que l’on entend? et là: un singe?...»


Nous débutons par Negombo, une petite ville balnéaire non loin de l’aéroport de Colombo. Nous nous y poserons quelques jours pour prendre nos marques et nous reposer des quelques derniers jours fatigants pour préparer le shipping à Istanbul (voir fin de fiche pays Istanbul).


Devinez quel sera le plus grand plaisir des enfants (hormis la faune local très exotique): Les fameux tuk-tuk indiens!

le centre de Negombo n’est pas très séduisant. Mais la plage... une bonne mise en bouche avant d’aller au sud, prévu à la fin de notre visite. En effet, les plages du sud sont très réputé, et même pour certaine, font parti des 10 plus belles plages du monde.

Quelques traces des événements de 2004, bien encore présent également dans la mémoires des Cingalais.

Avant de quitter la ville, il nous à fortement été conseillé de faire un petit tour sur le marché aux poissons. Les yeux rivés sur les étales, nous cherchons quelques nom de poissons, que les marchands se ferons un plaisir de vous les préparer: Raie manta,Espadon, Baracuda, Thon... 

Un régal pour les yeux, un désastre pour le nez... Sous les 30°C d’un soleil écrasant qui sèche des quantités de poissons.

Voila, toute bonne chose à une fin. L’avion de Matthieu étant plus tôt que le notre, nos chemins se séparent, malheureusement.

Quelle bonne expérience d’avoir parcouru le Sri Lanka avec lui! Nous aurons beaucoup appris l’un de l’autre et partager tant de choses.

Lui qui voulait découvrir ce qu’est le voyage en famille et moi qui ne pouvait m’imaginer comment vivre une tel expérience en solo.


Comment tenir deux ans, sans maison, juste avec son sac à dos, où l’espace de rangement ou stockage est très limité, réussir à vivre les choses sans les partager au quotidien... Au final, ce n’est pas ce qu’il vit: les opportunités de rencontres sont bien plus importantes que l’on ne pense et il nous confiera qu’il n’est que rarement seul, sauf quand il le souhaite. Son sac à dos, c’est sa maison et il n’a pas besoin de plus et c’est parfois ce qui peut simplifier l’aventure.

On ne peut s'empêcher de comparer nos façons de vivre, sans pour autant juger l’autre, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients.

Mais au final, nous avons une même motivation: l’envie de vivre nos rêves, vivre une expérience unique nourrit de découverte et de partage.

Nous allons chacun de notre coté suivre notre route, en espérant qu’elle se re-croisent un jour, en tout cas, il y a des choses qui peuvent se provoquer...

Après avoir partager 15 jours avec lui, nous espérons pouvoir renouveler l'expérience à bord de notre camping-car et lui faire découvrir notre univers.


Matthieu, bienvenue dans notre famille de la route!


Si vous souhaitez suivre les aventures de Matthieu, c’est ici:

Matthieu Bosquet et son vol libre autour du monde.

ou notre expérience commune au Sri-Lanka:

Vol libre au Sri-Lanka



La visite du centre aurait été parfaite si nous n’avions pas appris par nos amis bretons qu’il ont payé l’entrée du parc 500 roupies chacun, pour le même centre, le même jour. Nos tickets sont de vulgaires copies (ce qui n’avait rien de choquant ici, au Sri Lanka), mais le montant était doublé. J’imagine que la somme n’allait pas dans la caisse pour le  fonctionnement du centre comme décrit dans les guides, mais bien dans la po-poche des employés.

Une attitude plutôt déplaisante et dangereuse pour l’avenir de ce centre qui fonctionne principalement sur les dons financiers...