En route mauvaise troupe! direction l’aéroport KLIA pour récupérer mes parents qui vont découvrir la Malaisie en même temps que nous, car notre première visite était... éclair! et à part Kuala Lumpur et Penang, on avait pas vu grand chose... On a entendu plein de chose sur la Malaisie: Pays coup de coeur, pas grand chose à voir à part des palmerais,... à quoi nous attendre?
Il est 6h00 du mat’ et les voila qui débarquent, confus entre l’heure matinal, le décalage horaire, la fatigue du voyage et l’envie de découvrir ce pays. Eliott et Mayline n’avaient pas vu leurs papy-mamie depuis près d’un an et on peu dire que c’est la fête! C’est parti pour 3 semaines de vacances! en route vers Cameron Highland!
Cette station d’altitude va permettre à mes parents de s’habituer doucement à la chaleur local, sauf qu’ici, nous allons avoir les températures les plus fraîches que nous ayons eu en Asie, nous descendrons jusqu’à 17°C. Cameron Highlands est un site incontournable en Malaisie, grâce à ses randos, cascades, cultures de fraises, mais surtout grâce à ses cultures de thé à la renommée internationale.
Boh’Tea Factory ouvre les portes de ses plantations et de ses ateliers. Nous visiterons également une roseraie et une serre au papillon plutôt...gigantesque!
Il n’aura pas fallut débattre longtemps pour décider tout le monde d’aller aux Iles Perhentian... «c’est un paradis tropical! voila tout est dit!» voila ce qui est écrit dans notre guide et c’est bien vrai!
50km avant d’arriver, un bruit violent à l’arrière du camping-car nous oblige à nous arrêter... Un des pneus arrière à littéralement explosé, endommageant le garde-boue et le carter métallique du marche-pied... Les tôles sont pliées et déchirées rendant l’ouverture de la marche impossible. je crois qu’on va avoir du boulot sous le camping-car... Le plus grave, c’est que nous allons utiliser la dernière roue de secours... En arrivant chez un marchand de pneus pour remplacer rapidement mes pneus, deux mauvaises nouvelles nous attendent: une jolie mèche de bois est plantée dans une autre de mes roues arrières et il va être impossible de trouver la taille de mes pneus en Malaisie. Il réussira néanmoins à réparer le pneu avec une mèche.
Après plusieurs marchand, nous nous résignons à acheter deux pneus plus gros pour garantir de ne pas être bloqué à la prochaine crevaison... quelle galère!
Nous arrivons à l’embarcadère coté continent et le gardien d’un parking nous ouvre fièrement son «book» où il collectionne les cartes de visite des voyageurs en van, camping-car ou camion. On y retrouve des logos et photos qui ne nous sont pas inconnues, des voyageurs passés plus ou moins longtemps avant nous... Nous y apposerons notre petite carte de visite. La famille Akili est aussi passée par là! ;-)
On rejoint les iles grâce à une embarcation légère mais rapide. Après 45 minutes de «saute-vagues», voila les eaux turquoises et les plages de sable blanc sous nos pieds.
Comme à notre habitude, nous n’avons rien réservé à l’avance (malgré les nombreuses demande de mon père...). Sauf que nous avons faillit repartir aussi vite que nous sommes arrivés... Pas un hôtel de dispo sur la première île (la grande), et il aura fallût de peu sur la petite: une seul chambre de dispo! ouf... Elle est cher (surtout pour les prestations proposées), mais nous allons y rester, et changer de bungalow deux nuits après.
Armé de notre attirail du parfait petit plongeur, à nous les perhentians! Nous aurons la chance de nager à nouveau avec quelques tortues (dont une très grosse), mais aussi les requins. Bien attiré par la découverte des fonds, ma maman s’essayera au snorkeling pour la première fois et ici, au milieu de ses fonds extraordinaires, l’essayer: c’est l’adopter!!!
Y-a-t-il des éléphants en Malaisie??? ben, s’il y en a, ils ne sont pas facile à voir... Il existe un petit sanctuaire aux éléphants du coté de Temerloh où il est possible de nourrir les pachydermes et de les laver dans la rivière gratuitement (ou contre un dont). A notre visite, les pluies abondantes de la nuit précédente auront levé le niveau des eaux du cours rendant la baignade impossible :-(
Mes parents logerons chez l’habitant, une famille malaise sympathique qui nous proposera de pêcher dans son étang, au grand plaisir d’Eliott!
Même si la Malaisie fait rêver par son littoral et ses îles, le plus beau trésor qu’elle possède est dans les terres, et se nomme Taman Negara!
Avec ses 130 millions d’années, cette forêt peut se venter d’être la plus vielle du monde, d’écrit comme le poumon vert de l’Asie, une jungle sombre, humide et impénétrable. On peut y voir des champignons phosphorescents, des fougères bicolores ou encore des raflesies, la plus grosse fleur du monde qui peut atteindre 1 mètre de diamètre et peser 10kg! La faune est dense également, mais difficilement observable. Quelques peuples Orang Asli vivent encore dans cette forêt. Certains villages sont ouvert et on peut y apprendre à faire du feu ou découvrir la chasse à la sarbacane.
«Quelqu’un a le vertige??» sur 6, seulement 2 affronterons le Kanopy Walkway du parc. Considéré comme le plus grand du monde, ce pont de singe de plus de 500m de long, fait découvrir la forêt à plus de 40m du sol en se promenant d’arbre en arbre.
Nous ferons la connaissance de Muriel, Olivier et leurs enfants, jeunes voyageurs belges avec qui nous partagerons quelques moments, comme la rando de nuit avec une petite Mila et un p’tit Eliott avec qui il faudra négocier tous les 20 mètres pour avancer encore un peu... ;-)
Bon, vous l’aurez compris, on aime la mer, les belles plages et le snorkeling... «bon, c’est bien la forêt... allez: si nous retournions sur une île?» Cap vers le sud-est à l’île Tioman!
Petit coin de paradis, bla bla bla...bla bla bla... je ne vais pas vous la décrire vous connaissez la chanson... ;-)
Nous choisirons la plage d’ABC comme point de chute.
Malgré de nombreux refus, nous finirons par trouver de jolies chambres sur la côte, que mes parents nous offrirons pour nos anniversaires respectifs. Merci papa merci maman!
Dans quelques guests ou magasins, nous voyons des gros tigres. L’île aurait-elle une mascotte? Ce sera au petit matin que nous comprendrons l’usage de ces grosses peluches: vers 10 heures, c’est une armée de macaques qui descendent de la montagne pour dévorer toutes les mangues possibles sur leur passage, ne laissant qu’une poignée de fruits... Les habitants protègent leurs fruits comme ils le peuvent, c’est à dire en courant avec leur tigre dans les bras, après les groupes de singes. Spectacle unique à ne manquer sous aucun prétexte...
Rien que le nom laisse imaginer la beauté de cette petite île au nord de Tioman: Coral Island! A 25 minutes de bateau, nous rejoignons l’une des plus belles plages que nous ayons vu jusque là, de plus elle sera à nous, et rien qu’à nous toute la journée. Sous l’eau, c’est aussi joli qu’au dessus! A peine 5 minutes que nous avons le masque sur le nez, nous croiserons deux petites tortues. D'ailleurs, la plage est pleine de traces de bébés tortues ayant rejoint la mer. C’est au nord de la plage que nous vivrons une petite angoisse. 10 minutes après avoir aperçu les tortues, nous croisons la route d’un requin, le plus gros que nous ayons vu (plus de 2 mètres), nous décidons de le suivre avec Céline. A peine élancé, deux autres sur notre droite, puis un à gauche. Déjà, nous ralentissons la cadence... jusqu’à choisir de faire demi-tour quand nous en apercevrons encore un puis deux derrière nous... en tout 8 beaux requins pointes noires autour de nous. On a beau vous dire que vous ne craignez rien, je vous garanti qu’à ce moment là, nous ne faisions pas nos malins... d’autant plus que le courant ne nous était pas favorable... de mémoire, c’est la première fois que je suis rentré jusqu’à la plage en palmant sur le dos pour surveiller mes arrières... Mais quelle plongée! :-)
La pose photos s’impose! Les lieux touchent presque la perfection... à un détail près: des milliers de boulettes de pétroles... quel dommage!
Mes parents découvrent le rythme des iles et des malais: faut pas être pressé pour manger et ne pas espérer avoir tous nos plats ensemble... en même temps, pourquoi être pressé? Si la vie avance à ce rythme ici, c’est à nous de nous adapter (et on y arrive... ;-)
Dernière étape pour mes parents, Melaka: nous voila!
Nous avions hésité finir leur circuit par cette jolie petite ville coloniale ou par la capitale, mais avec du recul, ce choix fût le bon! Je crois que c’est l’une des plus belles villes d’Asie que nous ayons fait!
Le quartier le plus animé de la ville est sans conteste Chinatown et son fameux Jonker Walk. Les week-end, la rue principale se transforme alors en un véritable marché nocturne, où se succèdent scène de Karaoké (le sport national du pays), marchands ambulants, petites gargotes de rue... La ville possèdent de beaux immeubles, ce qui est rare en Asie.
Haaa, quel plus beau cadeau aurais-je pu faire à mon père, que de lui négocier un retour à l'hôtel en Trishaw. Ils ont réputation d’être les plus kitch, surtout la nuit, lorsqu’ils brillent de tout leurs feux et qu’il ne savent pas rouler et traverser la ville sans mettre des (ex-)tubes des années 80 à fond! Les enfants adorent, mon père...moins!!!!
Pour nous, Melaka est un condensé de ce qu’est la Malaisie: un mélange harmonieux d’une population hétérogène, par leurs origines, leurs religions ou mode de vie. Seulement 27 millions d’habitants dans le pays, et pourtant 6 millions de chinois et 2 millions d’indiens. Les religions sont tout aussi variées, même si l’Islam est plus présent dans les campagne. Chacun vit sa vie et la cohabitation serait presque exemplaire. Autre chose que nous apprécions beaucoup: l’accueil! Quel soit par les malais de souche, par la population chinoise, dans les temples hindouistes, bouddhistes ou dans les mosquées, les malais savent toujours bien nous accueillir. Avec notre camping-car, c’est comme avoir une étiquette sur le front «voyageurs», mais c’est loin d’être déplaisant, même si parfois c’est un peu oppressant (rien à voir avec l’Inde tout de même...). Leur curiosité naturelle nous conduira toujours sur de bon échange: ils donnent et n’attendent rien! c’est juste pour le plaisir de faire plaisir, de servir, de bien accueillir et par générosité.
Avec les enfants, c’est encore plus vrai. Un enfant ne doit ni pleurer ni être triste, ce qui va un peu à l’encontre de notre éducation occidentale. Mayline l’aura bien compris. Cette chipie a remarqué que lorsqu’elle veut quelques chose, elle a juste à pleurer pour l’avoir. C’est le cas pour avoir un fruit, qu’un commerçant s’empressera de lui donner pour la satisfaire, ou pour jouer avec le téléphone ou l’Ipad de quelqu’un. Nous avons même vécu quelques situations gênantes: Mayline obtient le fameux téléphone d’une passante, qui a le malheur de se mettre à sonner. La personne n’ose pas le reprendre et c’est nous qui lui arrachons des mains. Bien sûr, elle pleure et là, pendant que nous lui faisons la morale, une autre personne accourt pour lui prêter un nouveau téléphone, comme pour la sauver de son gros chagrin... et c’est comme ça depuis la Turquie... aïe aïe aïe...
Et voila, pour eux aussi c’est fini... 3 semaines se sont écoulées. Nous reprenons la route en direction de L’aéroport de Kuala Lumpur et même si personne ne dit rien, les gorges se serrent, une fois de plus... Eliott aura du mal à retenir son chagrin, il comprend maintenant le temps qui nous sépare des gens qu’on aime... le soir venu, le moral n’est pas haut. Ce sont mes parents qui partent, mais on sait aussi que plus personne ne va venir nous voir pendant quelques temps, en tout cas, pendant que nous voyagerons en Océanie, où le cout d’un voyage depuis la France n’est pas à la porté de toute les bourses.
Nous prenons la direction de Kélang, pour rejoindre Tan et Carmen, nos amis malais rencontrés en février lors de notre arrivée ici, en Asie. Leur accueil sera aussi chaleureux qu’à notre première rencontre.
Si nous aimons Melaka, eux aussi! cool! c’est parti pour un week-end entre amis!!! so happy! :-)
Nous allons redécouvrir cette jolie ville et quelques spécialités qui nous avait échappé: ....
C’est un dessert à base de glace pilée, de lait de coco, de vermicelle vert (d’où la provenance nous aura échappé), d’haricot rouge et de caramel... Bon, j’avoue, c’est vraiment spécial...
«Joyeux anniversaire Céline!!!!». Pour l’occasion, Tan et Carmen nous offrirons le petit déjeuné à leur hôtel avec de vrais croissants et plein de bonnes choses :-). Tan découvrira l’un de nos fromages: le Bleu... et aura la mauvaise idée de nous demander d’où provient cette jolie couleur...
Nos amis rentre chez eux. Pour nous, nous allons trainer quelques temps entre ici et Port Dickson pour organiser la suite du voyage.
Véritable point de passage obligatoire en Malaisie, Melaka nous permettra de rencontrer quelques voyageurs bien sympathique avec qui nous allons partager un peu de temps.
Nous passerons quelques jours avec Elodie, Michael et Maël. Le courant passe très vite avec cette petite famille. Re-visite de la ville, balade sur l’eau de nuit et sur les rives de jour... merci les amis pour ces bons moments ;-)
Nous allons rencontré le Dr Ho Eng Hui sur le marché! ce maître du Kun Fu prétend réussir à percer une noix de coco à la force d’un doigt.
Son show d’une heure (compter 58 minutes de blabla et 2 minutes pour casser 2 noix de coco avec son doigt et une avec son coude) met en scène les bienfaits d’une huile (qu’il vend) pour guérir des douleurs.
«Bon anniversaire Fabrice!!!» et oui, maintenant, c’est mon tour! ;-)
Nous le fêterons avec une autre petite famille voyageuse qui parcours
la Malaisie en sac à dos avec leurs deux p’tites jumelles...
Avant de quitter Melaka pour rejoindre Port Dikson, nous passons faire signe au «bateau bus», qui fût l’attraction quotidienne des enfants (il passait 3 fois par jour devant notre bivouac et à chaque passage, les enfants allaient saluer les touristes).
Quel déception... Nous arrivons en semaine, les sites sont vide, aucune vie, mais surtout la côte est loin d’être propre. Seul quelques grands hôtels (qui se sont privatisés la plage devant leur pallier) nettoie le littoral. Pour le reste, de véritable décheterie de pleine air, d’horrible bâtiments style «Grande-Motte» complément délabrés, voir abandonné et des plages souillées ne donnent pas très envie de traîner... Nous finirons néanmoins par trouver une place sympa où nous passerons les 10 prochains jours.
Au programme: des jours entiers sur internet à chercher un bateau pour le cc, des avions et des infos pour la suite du voyage. Nous vivons à cet instant les pire moment de notre voyage: Plein de questions sont levés pour la suite, et pas des plus agréable: Combien nous reste-t-il? Combien va nous couter cette traversée en bateau et en avion? serait-il plus interessant d’envoyer le cc en Australie ou de l’envoyer directement en Amérique du sud et louer un van en Océanie? D'ailleurs, vu le cout de la vie en Océanie: Est-ce une folie d’y aller et de «griller» une partie du budget? Mais si nous n’y allons pas: aurons-nous une autre opportunité d’y retourner?...et le pire des calculs: Maintenant que l’on sait ce que nous coute les prochains mois de voyage et le cout de cet fameuse trans-pacifique: c’est quoi la date de retour?
C’est le choix du bateau (délais et prix) qui va déterminer tout le reste.
Nous finissons par trouver un compromis pour ne pas trop attaquer le budget en Océanie et visiter cette parti du monde.
Nous finirons, après 4 semaines de recherche, à boucler les prochaines étapes:
-Indonésie en Sac à dos pendant un mois. Nos amis Tan et Carmen garderons le cc chez eux (du 5 septembre au 4 octobre 12)
-visite de Singapour (du 4 au 8 octobre 12)
-retour en Malaisie pour mettre le camping-car sur un bateau (63 jours en mer + gardiennage 10j avant et 10j après)
-Visite du sud-est australien durant un peu plus d’un mois. plus court que prévu... :-( (du 21 octobre au 28 novembre)
-Direction la Nouvelle-Zélande pour un mois (du 28 novembre au 24 décembre)
-2 semaines sur Tahiti (du 23 décembre au 08 janvier 2013)
-1 petite semaine sur l’île de pâques (du 8 au 12 janvier 2013)
ce qui nous amène à récupérer le camping-car à Santiago du Chili le 17 janvier 2013.
Du coup, nous aurons aussi trouvé par la même occasion les véhicules à louer (Vans aménagés) pour l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Nous revoilà cloisonner avec des dates, mais parfois, il n’y a pas le choix.
Je peux vous garantir que réussir à trouver les billets d’avions qui colle au bateau avec des dates et lieux réalisable, et tout ça en cherchant à serrer au maximum le budget, n’a pas été une mince affaire...
Voila, c’est fait, tout le monde est soulager et l’ambiance du camping-car se re-détend un peu. Ca tombe bien, c’est l'anniversaire de Mayline (et oui, il nous faut vraiment prévoir un budget cadeau en aout...). Notre Mimi nationale, notre Mini-Akili fête ses 4 ans!
Pour l’occasion se sera Mac Do (...) et cerf-volant! sauf que notre cerf-volant «akili-tour du monde» n’a pas l’air de vouloir se dégourdir les ailes... Ici, c’est un sport national et les malaysiens ne vont pas nous laisser avec un cerf-volant au sol!!! Chacun leur tour, les locaux apporterons leurs petites touches personnelles et leurs aides, mais rien, n’y fait...
Avant notre départ de Port Dikson, une petite visite de la police s’impose: Si en France elle vous distribue des prunes, ici, ce sont des dattes, des lychees et plein d'assortiments de gâteau avec l’habituel «Welcome» que nous ne nous lassons pas d’entendre! :-)
«En avant les cuisinières!» Céline et Carmen se trouveront une passion commune: la cuisine! elles s’apprendrons mutuellement un plat traditionnel de nos pays respectifs: Carmen apprendra à Céline tous les secrets des Spring-Rolls, des Rouleau de printemps et Risotto végétal. Quand à Céline, elle dévoilera la recette de sa délicieuse Ratatouille. Et nous, les gars: ben on juge! ;-)
Pour la recette des Spring-rolls, c’est dans les fils rouges «la cuisine de Céline», ou directement ici!
L’hospitalité de nos amis ne s’arrête pas là! Aujourd’hui, c’est la fête national et nos amis nous invitent pour ce week-end prolongé de vivre parmi eux, dans leurs familles: Nous irons d'abords dans celle de Tan, qui nous fera visiter sa ville natale et un temple (dans lequel les dons de nourriture fait on créer une véritable oeuvre d’art), une jolie cascade et l’un des cimetières chinois de la région. Ce dernier n’a rien à voir avec nos cimetières français. C’est un vrai lieu de promenade. Ensuite, nous irons vers le nord, dans la famille de Carmen, avec qui nous irons visiter sa ville également, un temple , une coopérative de riz et un drôle d’endroit: le marais aux lucioles.
Voila, nous quittons provisoirement nos amis pour un mois, le temps d’aller visiter l’Indonésie en sac à dos. Tan nous proposera de garder notre camping-car chez lui et même de nous accompagner à l’aéroport.
Voici près de deux mois que nous sommes en Malaisie. Nous aurons découvert un pays accueillant et chaleureux. Cette diversité des cultures n’est pas habituelle pour nous. Nous avons visité ce beau pays durant le mois de ramadan. Pour autant, même si le pays et musulman, les restaurants chinois et indien nous ont permis de ne pas trop galèrer pour se restaurer. D’après d’autres voyageurs, seul les réseau de transport sont réellement perturber pour les touristes, par le manque de chauffeurs.
Nous reviendrons ici pour mettre le camping-car sur un bateau, en direction de l’Amérique du sud.
La Malaisie aura été le pays qui aura, après la France, le plus suivi notre site internet, certainement dû^à notre article paru lors de notre première venu (visible dans la page article presse).